La voie du sang

Le soleil se couche sur Hergig, tranquillement, sans se douter que quelque part, dans une ruelle sombre, un être aussi gracieux que maléfique s'éveille. Là, à deux pas de la grande rue, un cercueil s'ouvre et laisse s'échapper une frêle silhouette hésitante. Elle s'éloigne peu à peu de son cercueil tout en controlant les alentours.

*C'est bon, plus de lumière...*, chuchote-elle faiblement.

Au bout d'une à deux minutes, elle se réveille enfin complêtement et redécouvre la ruelle qui l'a abritée pour le jour : sur sa droite, on va vers la grande rue et à gauche, on s'enfonce dans les bas-fonds de la cité. C'est même par là qu'elle est entrée, les égouts ! L'odeur était nauséabonde mais cela demeurait le meilleur endroit pour se rendre dans cette grande cité sans se faire repérer.
Elle allait retourner vers son cercueil quand elle entendit un murmure :

" 'Tain de bourgeois va ! Pas plus fins les uns des autres ! Un jour vous tomberez vous aussi ! On tombe tous ! Oui tous... même toi ma chère..."

D'instinct, elle s'éclipsa et vit apparaitre une clocharde, tenant dans les mains sa chère et tendre bouteille.

*La vie a été dure avec toi mon amie, laisse moi te réconforter...*

Se nourrir d'une clocharde ne serait pas bon pour sa santé mais étant déjà morte... Elle s'accroupit, redevenant ainsi visible au yeux de la misérable qui ne la remarqua pas, et s'assura que ses dagues étaient toujours à leur place. Puis silencieusement, c'est à dire inaudibles pour une oreille humaine, elle s'approcha de son petit déjeuner qui contre toute attente, se retourna...

"Mon dieu... Seigneur... Est-ce un ange ?", balbutia la clocharde
"Presque ma chère, presque..." répondit Elisa avec un sourire aux lèvres, toutes canines sorties. "N'ai pas peur, ton miséricordieux seigneur t'offre les clefs du Paradis. Tu n'as qu'à m'offrir ta gorge..."

A sa grande surprise, elle obéit sans un mot et se laissa pomper tout son sang jusqu'à la dernière goutte. Cela ne prit que quelques minutes et finalement, elle s'étendit de tout son long sur le sol.
Revigorée par ce repas, Elisa prit le corps sans vie et le plaça dans un coin, à l'abris des regards. Elle alla ensuite chercher sa cape dans son cercueil, la mise puis se dirigea vers la grande rue à la recherche d'un emploi.

Tu ne trouver personne mais tu sans une présence derrière toi. Alors que tu tournes un tournant tu vois quelque qui te dit :

"Salut, ta du talent pour convaincre les gens de ce laisser sucer le sang."

Il sourit, il possède trois dents d'or.

"Je vois tout de suite ton alignement donc tu sera peut être intéresser part mon contract, de meurtre?"

Surprise, elle se recula vivement et dévisagea son interlocuteur. Ses trois dents dorées attirèrent d'abord son regard puis celui-ci se posa sur ses yeux. Rien en lui ne laissait penser à un quelconque lien avec les vampires à part sa discrétion.
Comme si elle avait été agressée par le nouveau venu, elle se défendit :
"Mordre une pauvre femme comme celle-ci est très aisée. Même un humain l'aurait fait. Par contre, me surprendre comme vous l'avez fait seigneur, dénote une grande expérience. Comment avez-vous su pour moi, pour mes buts ? Après tout, les vampires tuent par nécessité, pas forcément par plaisir... Lisez-vous réellement en moi comme j'aurais tendance à le penser ? Répondez et peut-être accepterais-je ce "contrat."

*On ne me force pas la main, petit gars, faudra t'y faire.*

"On na qu'a t'observé que cela est ton job de tuer, je ne suis pas novice dans le métier, essait pas de m'avoir."

De ce fait un épée pendait à sa ceinture.

Elle lui fit son plus joli sourire, sourire qu'elle ne montrait que rarement. Quand l'extase l'emportait sur la raison. Elle lui dit alors, d'une voix douce et timide :
"Puisque ma réputation me précède et comme vous semblez vous y connaitre, je ne peux que vous demander de me faire confiance pour cette tache qui vous tient à coeur. Je ne vous décevrai pas, messire, la Mort passera là où vous pointerez votre doigt."

"Je veux que tu élimine le grand prêtre d'Ulric, pour ta récompence ce sera ici quand tu auras fini."

Sur ce il disparut dans les ténèbres.

MJ: Pour faire ton voyage tu poste un sujet : Voyage de Divoune

Ici : http://warhammer.forumactif.com/viewforum.forum?f=17

Tu te promène et finalement tu trouve une taverne délabrer avec de l'agitation a l'intérieur.

Il n'y a rein d'intéréssent si ce n'est un petit groupe d'elfe.

Tu entend vaguement.

"Qui crois tu qui le fera? Tuer le gouverneur?"

Au bar le tavernier te demande ce que tu veux.

"Une bière me suffira mon brave. Merci."


Elle lui tendit l'argent et repartit vers une table libre la plus proche possible des elfes. Tout en marchant, elle les étudia du coin de l'oeil.

Elle sirota sa bière et se délecta de sa fraicheur. Elle prit tout son temps pour la boire. Puis, profitant du bruit et du désordre qui régnait dans la teverne, elle s'approcha de la table des elfes et leur dit :

"Ne craignez rien de moi, je ne tue que ceux dont on me donne la cible. J'ai entendu par hasard votre conversation sur le gouverneur. Puis-je m'installer ?"

Pendant que vous disiez cela vous voyez quelqu'un sortir en courant de la taverne.

"Qui êtes vous demoiselle?"

Les elfes avait tous une main sur leurs armes.

"Je suis Elisa Divoune, assassin, chuchota-t-elle, mais là n'est plus le problème. il faut s'occuper de l'homme qui vient se partir de la taverne et qui risque de défaire vos plans !"

Les elfes se levèrent d'un bon.

"Ne le laisser pas partir!"

Ils sortirent tous en trompe de la taverne. Au deux bout de la rue des gardes arrivaient.

Elle suivit les elfes dehors et vit la troupe de garde approcher dangereusement.
*Si ils ont été prévenu par le fuyard, ils doivent avoir notre signalement*, se dit-elle.
"Messires ! Quels que soient vos desseins, il ne faut pas qu'ils échouent par ma faute. Il faut fuir ! Et si nous en réchappons, je tuerais le gouverneur. N'avez-vous pas de pouvoir elfiques pour nous faciliter la tache ? "

"Akila, vas-y."

En quelques secondes vous fument entourer d'un voile noir. Quand il se dissipa vous étiez derrière les gardes ahuries.

Tandis qu'ils réapparaissaient, elle jeta un coup d'oeil autour d'elle pour essayer de repérer le fuyard. Mais au fond d'elle même, elle se dit que le croiser ici marquerait ses derniers instants autant que son insouciance.
Elle leur dit : "Et ensuite ? Avez-vous une planque ?"

Les gardes se retourne et foncent sur vous. Ils sont un quinzaines.

"On se retrouve ici dans 24h."

Ils partent en courant pousuivit part la moitier des gardes. Ils y en a 7 après toi.

"Très bien." répondit-elle.
Elle partit dans la direction opposée en courant le plus vite qu'elle put et arriva à une intersection à quatre branches. Elle tourna à droite et chercha une rue adjacente pour semer ses poursuivants.